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Anglet (Pyrénées-Atlantiques) Le Tribunal administratif de Pau a condamné, le 18 juin 2015, la commune à abroger son arrêté du 18 mai 2012. Cette décision confirme le jugement de la Cour d’appel administrative de Nantes qui mentionne que les aires payantes ne peuvent être considérées comme solution de substitution au stationnement sur la voie publique. Le versement de 1 000€ au CLC, en vertu de l’article L.761-1 du Code de justice administrative, a également été acté.
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Saint-Brévin-les-Pins (Loire-Atlantique) La Cour d’appel administrative de Nantes a débouté la commune le 2 juin 2015 et affermit ainsi le jugement rendu par le Tribunal administratif de Nantes le 10 octobre 2014. Le versement de 1 500€ au CLC est également consigné dans le jugement, au titre de l’article L.761-1 du Code de justice administrative.
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Le Barcarès (Pyrénées-Orientales) Par un jugement du 7 mai 2015, le Tribunal administratif de Montpellier a condamné la commune à verser la somme de 1 000 euros au CLC, au titre de l'article L.761-1 du code de justice administrative pour avoir abroger son arrêté en cours d’instance.
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La Bernerie-en-Retz (Loire-Atlantique) L’arrêté a été abrogé par le jugement du Tribunal administratif de Nantes le 3 avril 2015. Cet arrêté réglementait de façon abusive le stationnement des camping-cars et des véhicules aménagés. La dépose de la signalisation routière s'y rapportant, de même que la dépose des barres de hauteur limitant l'accès à divers parkings publics de la commune aux véhicules dont le gabarit est supérieur à 2,10m de hauteur ont également été ordonnées. Le versement de 1 000€ au CLC, en vertu de l’article L.761-1 du Code de justice administrative, a également été mentionné.
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Cassis (Bouches-du-Rhône) Le Tribunal administratif de Marseille a annulé, par jugement du 19 février 2015, l'arrêté du 5 juillet 2012. La dépose des panneaux de signalisation a été requise. Le versement de 1 500€ au CLC, en vertu de l’article L.761-1 du Code de justice administrative, a également été demandé.
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Anglet : LE TA DE PAU CONDAMNE LA COMMUNE D'ANGLET Par un jugement rendu le 18 juin dernier, le tribunal administratif de Pau a condamné la commune d'Anglet à abroger son arrêté 2012/1050 du 18 mai 2012, règlementant le stationnement des camping-cars, autocaravanes et autres véhicules aménagés en tant que mode d'hébergement, dans un délai de deux mois à compter de la présente décision. A verser au C.L.C la somme de 1000 euros au titre de l'article L.761-1 du code de justice administrative. Le C.L.C avait formulé un recours amiable en date 13 février 2014 pour lequel le maire avait refusé de faire droit. Une requête devant le tribunal administratif de Pau avait alors été déposée le 28 mai 2014. Par cette décision, le juge administratif confirme la décision de la CAA de Nantes, à savoir que la présence, de deux aires payantes, sur le territoire de la commune ne peut être considérée comme une solution de substitution. Le C.L.C rappelle que la règle est la liberté de stationnement et la gratuité, sur la voie publique, y compris pour les véhicules automobiles de type camping-cars.
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Saint-Brévin-les-Pins : En date du 10 octobre 2014, le tribunal administratif de Nantes a enjoint au maire de la commune de Saint-Brévin-les-Pins (44) d'abroger, dans un délai de deux mois, sont arrêté du 26 mai 2011, portant sur la réglementation des camping-cars. Il est également demandé au maire de déposer les panneaux de signalisation routière se rapportant aux seuls camping-cars matérialisant les interdictions contenues dans l'arrêté. Le tribunal administratif a considéré qu'il ne ressort pas des pièces du dossier que les inconvénients que peut provoquer, à Saint-Brévin-les-Pins, le stationnement des autocaravanes et véhicules assimilés, dont l'existence est dûment contestée par l'association requérante, aient présenté un caractère de gravité tel pour la sécurité, la salubrité et la protection des sites qu'ils aient été de nature à justifier légalement l'interdiction de stationnement ainsi édictée par l'arrêté du 26 mai 2011; qu'il en va de même en ce qui concerne l'interdiction totale de stationnement édictée par l'arrêté litigieux, qui s'applique toute l'année, à toute heure, et sur une portion du territoire communal qui n'est pas définie de manière claire (...°; que dans ces conditions et en dépit de l'existence de trois parcs de stationnement ouverts à ce type de véhicules, les restrictions apportées à la liberté de stationnement par ledit arrêté ont présenté un caractère de généralité excessif par rapport aux fins recherchées. La commune est également condamnée à verser la somme de 1000 euros au titre de l'article L.761-1 du code de justice administrative, au C.L.C. Le Comité de liaison du camping-car se félicite de ce jugement qui confirme que la présence d'un parc de stationnement pour camping-cars (aire d'accueil, aire de camping-car) ne constitue pas une structure d'accueil obligatoire de stationnement pour ce type de véhicule et que la liberté de stationner sur la voie publique, reste la règle. Le C.L.C profite de ce jugement pour rappeler aux utilisateurs de camping-cars que tout déballage sur la voie publique (voie de circulation, parking, trottoir etc..) constitue une notion de camping et que cette pratique doit s'exercer dans des zones où le camping est autorisé, tel un terrain de camping ou une aire d'accueil pour camping-car si l'arrêté municipal autorise le déballage sur cette zone.
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La Cour d'appel administrative de Nantes, par un arrêt du 2 juin 2015, rejette la requête de la commune de Saint-Brévin-les-Pins et confirme le jugement rendu par le tribunal administratif de Nantes du 10 octobre 2014, obtenu par le Comité de liaison du camping-car. La commune de Saint-Brévin-les-Pins est, par ailleurs, condamnée à verser la somme de 1500 euros au C.L.C au titre de l'article L761-1 du code de justice administrative.
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Le Barcarès : Par un jugement du 7 mai 2015, le Tribunal administratif de Montpellier condamne la commune de Le Barcarès à verser la somme de 1000 euros, au titre de l'article L.761-1 du code de justice administrative, au Comité de liaison du camping-car suite à la requête de ce dernier contre l'arrêté du maire, du 22 août 2012, relatif à l'interdiction de stationner pour les camping-cars et l'abrogation de cet arrêté, par la commune, en cours d'instance.
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La Bernerie-en-Retz : Par un jugement du tribunal administratif de Nantes, en date du 3 avril 2015, le Comité de liaison du camping-car a obtenu l'abrogation de l'arrêté réglementant le stationnement des camping-cars et des véhicules aménagés ainsi que la dépose de la signalisation routière s'y rapportant de même que la dépose des barres de hauteur limitant l'accès à divers parkings publics de la commune aux véhicules dont le gabarit est supérieur à 2,10m de hauteur. La commune est également condamnée à verser la somme de 1000 euros au titre de l'article L761-1 du code de justice administrative.
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Cassis : Par un jugement en date du 19 février 2015, le Comité de liaison du camping-car a obtenu du tribunal administratif de Marseille l'annulation de l'arrêté du 5 juillet 2012 de la commune de Cassis portant sur la réglementation et le stationnement des camping-cars. Il est également enjoint à l'autorité compétente de procéder à la dépose des panneaux de signalisation dans un délai d'un mois. La commune versera au C.L.C, au titre de l'article L 761-1 du code de justice administrative, la somme de 1500 euros.
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Bidart : Par un jugement du 4 décembre 2014, le tribunal administratif de Pau a annulé le refus d'abrogation du maire de la commune de Bidart concernant l'arrêté portant sur le stationnement des camping-cars, du 29 mai 2012. La commune a deux mois pour abroger la disposition, à compter de la notification du jugement. Elle est par ailleurs condamnée à verser au C.L.C la somme de 1000 euros au titre de l'article L.761-1 du code de justice administrative.
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Le bois plage en ré :En date du 27 juin 2013, le tribunal administratif de Poitiers, suite à une requête du C.L.C introduite le 12 juillet 2011, a annulé l'arrêté du maire de la commune de Le Bois Plage en Ré, règlementant le stationnement des véhicules utilisés comme moyen d'hébergement, du 20 mai 2011. La commune est condamnée à verser, au C.L.C, la somme de 800 euros au titre des frais de justice (article L.761 du code de justice administrative).
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Hendaye, Eugénie les Bains et Souston:
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Le Tribunal administratif de Pau a ordonné, en date du 22 novembre 2012, aux communes de Hendaye, Eugénie les Bains et Soustons d'abroger leur(s) arrêté(s) dans un délai de deux mois, relatifs au stationnement des camping-cars.
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Chaque commune a été condamnée à dédommager le C.L.C au titre de l'article L 761-1 du Code de justice administrative
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Moliets et Mâa : Par une requête introductive d'instance formulée auprès du tribunal administratif de Pau, le Comité de liaison du camping-car a demandé l'abrogation de l'arrêté municipal du 18 mars 2010 de la commune de Moliets-et-Mâa. Après refus du maire, le tribunal administratif, en son audience publique du 22 novembre 2012, a jugé que : les dispositions de l'article 6 de l'arrêté du 18 mars 2010 sont annulées et enjoint audit maire d'abroger ledit arrêté. Le tribunal administratif de Pau condamne, par ailleurs, la commune à verser la somme de 1000 euros au Comité de liaison du camping-car au titre de l'article L 761-1 du Code de justice administrative.
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Andernos-les-Bains : Le Tribunal Administratif de Bordeaux, suite au recours déposé par le C.L.C , annule l'arrêté municipal du 13 juillet 2007 portant sur l'interdiction de stationner des autocaravanes et autres véhicules aménagés pour dormir, hors l'aire de camping-cars située au port ostréicole, par un jugement rendu le 6 décembre 2011 par le TA de Bordeaux.
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Bidart : Suite au recours introduit par le Comité de Liaison du Camping-car contre la commune de Bidart, le Tribunal Administratif de Pau condamne la commune de Bidart à abroger ses arrêtés municipaux du 21 juin 1982 et du 17 juillet 1990 dans un délai de 2 mois et à verser la somme de 1000 euros au titre de l'article L 761-1 du code de justice administrative. Les présents arrêtés du 21 juin 1982 et du 17 juillet 1990 portant jusqu'ici atteinte au libre stationnement des camping-cars.
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Arcachon : Suite au recours introduit par le Comité de Liaison du Camping-car contre la commune d'Arcachon, le Tribunal Administratif de Bordeaux condamne la commune d'Arcachon à abroger l'article 33 de l'arrêté municipal du 14 septembre 2006 dans un délai de 15 jours et à verser la somme de 1200 euros au titre de l'article L 761-1 du code de justice administrative. Le présent article 33 de l'arrêté 310/2006 portant jusqu'ici atteinte au libre stationnement des camping-cars.